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confidences coquines d'une femme mariée
9 juillet 2016

Maison de campagne

Quelques histoires un peu folles qui me sont arrivées pendant les grandes vacances.

En effet j’ai la chance d’avoir 2 mois de congés en été alors que mon mari n’a que 15 jours.

Nous venions d’acheter une maison de campagne dans un endroit particulièrement perdu, une grosse bâtisse du style maison de maître avec des dépendances et un très grand terrain sur lequel nous avions un petit étang.

J’ai donc passé 1 mois et demi toute seule dans cette maison à m’occuper des entreprises chargées des travaux. Un mois et demi de pur bonheur à travailler comme une dingue entre le défrichage, le nettoyage et même des travaux du bâtiment.

Mais en même temps  un mois et demi à être la seule femme sur ce chantier, à en profiter un peu, en abuser surement, mais surtout avec des souvenirs mémorables…

Je ne vous les raconterai pas tous mais franchement avec le recul j’avoue être allée un peu loin parfois.

Un des moments particulièrement chaud sexy ou coquin remonte à cette fin de journée, vers les 19 heures où je restais seule avec Sébastien, un jeune du village que j’avais embauché pour défricher le fond du parc.

J’étais au bord de l’étang avec la débroussailleuse et lui avec sa pelle nettoyait le ruisseau à côté. Quand tout d’un coup j’ai glissé et me suis affalée de tout mon long dans l’étang en partie asséché. Ce n’était qu’une marre de boue, de vase et d’algues puantes visqueuses et franchement immondes.

J’étais couverte de cochonneries de la tête aux pieds et heureusement Sébastien  était là sinon je n’aurai jamais pu en ressortir seule. Avec le manche de sa pelle il a réussi à me tirer jusqu’à la rive.

Bref, me voilà sur la berge, ressemblante au bonhomme cetelem qui serait tombé dans une fosse à purin…

La situation m’est apparue assez catastrophique car la maison étant en travaux il n’y avait pas d’eau , je n’avais pas de vêtement et je ne me voyais pas rentrer à l’hôtel dans cette tenue.

La seule solution pour me nettoyer était le tuyau d’arrosage au milieu du parc que les maçons avaient installé pour leurs travaux.

- Sébastien, tu vas venir avec moi pour m’aider à me rincer.

-Heu… oui Madame… (dit-il très gêné)

Et nous voilà au milieu du parc vers ce fameux tuyau.

Je lui dis alors d’ouvrir l’eau et de me rincer la tête. Ce qu’il fit sans souci.

Puis je lui demande de m’asperger de haut en bas pour enlever toute cette vase et ces algues. Ce qu’il fit également mais la vase était imprégnée dans les vêtements, j’en avais partout et il avait beau m’asperger j’étais toujours aussi sale.

C’est alors que j’ai posé mon t-shirt et que je me suis mise en soutien-gorge devant lui pour qu’il m’arrose comme il faut. Et, le résultat a été immédiat. Je me suis alors retournée et j’ai posé mon soutien-gorge afin de le rincer également et me nettoyer les seins correctement.

La scène avait quelque chose de surréaliste… Je lui tournais le dos mais j’étais seins nus. !

-Maintenant, Sébastien, tu vas me donner le tuyau et te retourner. Je ne veux pas te voir bouger, si tu tournes la tête je t’arrache les yeux… c’est compris ?

-Oui, oui, Madame, ne vous inquiétez pas !

Et c’est alors que j’ai posé mon jean j’avais les jambes pleines de vase, puis la petite culotte sur les genoux je me suis rincée abondamment, devant, derrière, ainsi que cette fameuse culotte qui était dans le même état !

Ensuite j’ai renfilé mes sous-vêtements trempés et c’est ainsi que nous sommes allés boire un verre sur la terrasse pendant que mon t-shirt et mon pantalon séchaient au soleil. J’étais assise sur le banc en petite culotte et en soutien-gorge !

Je lui ai fait promettre et jurer de ne jamais en parler, pas même à sa petite amie.

Puis, le restant des vacances, ou plutôt des travaux, nous étions très complices et copains mais jamais la moindre allusion à cette fameuse soirée.

 

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Une autre mésaventure survenue quelques jours plus tard mais toujours sur ce même chantier.

Un matin j’avais entreprit de nettoyer une grange particulièrement sale, pleine de paille, de toiles d’araignées, de poussières et de gravats. Cette grange n’avait pas dû être nettoyée depuis des lustres.

A cette époque la chambre et la salle de bain étaient finies et je n’étais donc plus à l’hôtel.

Et alors ce matin-là en me levant surement l’esprit un peu coquine j’avais décidé d’enfiler mon bleu de travail en mode nature, c’est-à-dire sans rien dessous…. Toute nue sous mon bleu de travail.

Et bien oui….. j’avais envie de voir quel effet cela ferait !

Et je peux vous promettre que l’effet est magnifique et même magique, personne  le voit, personne le sait, et vous êtes seule à connaître ce secret.

Je discutais avec tel ou tel artisan sans qu’il s’imagine quoi que ce soit. Je me disais « Mon coco ! Si tu savais…. ! »

Et c’est ainsi que j’ai passé toute ma journée à nettoyer ratisser trafiquer dans tous les sens en étant toute nue sous mon bleu.

Le lendemain matin je décidais de récidiver et j’ai alors passé plusieurs heures toujours dans la même tenue et avec les mêmes sensations.

Sauf que………..

Vers les 11 heures le carreleur vient me voir.

-          Je vais à Casto-Brico-Machin Truc. Je vous emmène que vous choisissiez les faïences de la cuisine.

-          Oui, je vais me changer et j’arrive.

-          Mais non ! on n’a pas le temps, et puis vous êtes très bien en bleu, on va pas à un défilé de mode ……

Et c’est ainsi que je me suis retrouvée presque de force dans la cabine du camion.

Une demi-heure plus tard nous arpentions les allées du magasin à choisir les faïences et la sensation initiale assez coquine s’est transformée en une très forte sensation de gêne et d’exhibitionnisme.

Une expérience à vivre que je ne regrette absolument pas mais je ne suis pas certaine d’oser la rééditer un jour !

Si vous êtes dans cet état d’esprit je vous suggère d’essayer un jour pour vivre cette sensation assez fabuleuse de se sentir terriblement vulnérable.

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Et une petite dernière pour la route !

Le tout dernier jour des travaux, il ne restait que les maçons. Le matin ils avaient fini de remballer l’échafaudage et leurs derniers outils quant à moi j’étais allée en ville pour des rendez-vous.

Pour une fois j’étais habillée en femme et non en bleu de travail ou en jean déchiré et plein de peinture. J’avais une petite robe d’été mi-cuisses, blanche et assez sexy avec deux fines bretelles sur un joli décolleté sans soutien-gorge. Plus dans le style minette qu’ouvrière de chantier !

Quand je suis rentrée à midi et comme prévu je leur ai offert l’apéritif ainsi que le repas au bord de l’étang.

C’était mes 3 ouvriers préférés, ils étaient là depuis le début des travaux en ayant fait tous les crépis, les dalles en ciment ainsi qu’un mur complet sur une grange. Bref on se connaissait bien et on avait sympathisé.

A midi on boit le pastis tous les 4, on plaisante, on rigole et petit à petit l’ambiance dégénère un peu.

Il faisait chaud on était en pleine canicule et au bout d’un moment comme un des gars se plaignait de la chaleur j’ai pris le seau de glaçons et je lui ai vidé dans le cou entre le t-shirt et la peau du dos.

Imaginez les cris les hurlements du gars et sa réaction a été immédiate…

Piqué debout face à moi il m’a basculée sur son épaule et m’a embarquée jusqu’au ruisseau un peu plus loin. Bien sûr les deux autres ont suivi et je me suis retrouvée allongée dans le ruisseau avec les 3 gars sur moi me plaquant au fond de l’eau  en m’empêchant de me relever.

On s’est comporté comme des gamins de 10 ans à hurler de rire et à s’asperger, et moi à moitié nue, pour pas dire au trois quarts……

Chacun son tour s’est retrouvé allongé et roulé au fond du ruisseau, le tout dans des cris et des éclats de rire qui devaient résonner au loin.

J’ai fini en petite culotte et seins nus… des vrais gamins de 10 ans, je vous dis, des vrais gamins !

Mais CHUTTTTT personne ne l’a su !

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Commentaires
G
Très belles histoires de chantier en campagne...
M
J'ai adoré ces petites histoires troublantes, coquines dans le raisonnable. Bravo madame pour ces magnifiques récits. Avouons qu'ils ont une sacrés chance ces ouvriers :-)
D
Ce qui compte, c'est votre excitation ,le reste n'a rien de dévergondé .<br /> <br /> <br /> <br /> Un exhibitionniste se serait promené tout nu dans la nature .
M
Décidément ils sont chanceux les artisans vers chez toi :)<br /> <br /> Sympa ces petites histoires, attirantes mais toujours à la limite, sans excès.<br /> <br /> Au plaisir de te relire,<br /> <br /> Matt
confidences coquines d'une femme mariée
  • Les confidences coquines, secrètes et surtout anonymes d'une femme. Je suis une mère de famille investie dans mon travail ainsi que dans des associations. Ce blog sera mon "divan secret" sans aucun tabou. Alors n'hésitez pas à faire vos commentaires.
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