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confidences coquines d'une femme mariée

4 décembre 2017

Un amant virtuel

….Interdit aux moins de 18 ans….

 

Cela faisait presque deux ans qu’on discutait régulièrement le soir venu sur un réseau social .

J’avais rencontré cet homme par le plus pur des hasards un jour sur un forum politique et nous avions échangé nos idées sur le sujet. Puis de fil en aiguille sur messenger on a parlé de politique, du travail, de nos passions, de notre vie en général, mais tout ceci dans le plus parfait respect et sans aucune dérive fautive.

Lui disait avoir 45 ans, être marié avec 2 enfants. Il habitait quelque part du côté de Poitiers mais finalement je n’en savais rien et je m’en moquais. Il était ouvert d’esprit, très intelligent cultivé et c’est ce qui me plaisait dans nos échanges.

Un soir, pour quelle raison je ne sais plus, on a décidé d’écrire un petit roman à 2 mains et de le publier sur un site bien connu. Sur ce site les textes sont notés par les lecteurs, puis on s’était lancé un défi qui consistait à se donner un gage en fonction de la notation.

J’avais parié sur une note inférieure à 15/20 et lui sur une note supérieure.

Le gage que je lui donnais était de m’envoyer une photo en selfy de lui avec toute sa famille. En revanche lui voulait aussi une photo mais dont le sujet serait à déterminer le moment venu….

On publie ce texte, les commentaires s’enchainent tous très positifs, les notes sont bien supérieures à nos attentes et très vite la moyenne tourne entre 17 et 18. Au bout d’un mois nous étions largement au-dessus du 15/20 fatidique.

Le sujet du gage est ensuite tombé à l’eau, il me disait à chaque fois qu’on verra ça plus tard, plus tard…

Il y a quelques jours de cela je suis allée à Paris pour une formation professionnelle avec 2 de mes collègues. Voyage de 2 heures en TGV et je me connecte pendant ce temps. Mon ami du soir était connecté également, on discute mais très vite il revient sur mon fameux gage.

« Ce soir avec tes collègues vous faites quoi ? »

« On a prévu une soirée dans un cabaret »

« Tu t’habilles comment, tu seras la plus belle ? »

« Mais bien sûr que je serai la plus belle….. j’ai prévu une jolie robe de soirée »

« Alors tu te reconnectes en arrivant au cabaret et je t’expliquerai »

Le soir venu et comme décidé je me suis discrètement reconnectée avant que le spectacle ne commence. Mon visiteur du soir était là.

 « Alors tu es en place, tu as enfilé ta robe de soirée, tu vas me la décrire »

Je lui explique que c’est une robe noire, fendue sur la cuisse droite avec des bas autofixants, et prise par l’ambiance de la salle je lui avoue même qu’elle se porte sans soutien-gorge.

« Alors maintenant tu vas aller aux toilettes et m’envoyer une photo de ta petite culotte. Mais tu devras la poser et la mettre sur le lavabo pour faire la photo puis tu la garderas dans ton sac à main »

« Ca va pas !!!! Tu es en train de gâcher notre amitié avec tes fantasmes ? »

« Un défi c’est un défi, un gage c’est un gage, tu as donné ta parole tu ne peux pas te défiler ! »

 Un long silence dans les messages, il n’écrivait plus rien, j’étais interloquée, puis un petit tour dans les toilettes et je suis ressortie la culotte à la main.

Eh oui j’ai osé, j’ai osé l’impensable l’inimaginable…mais probablement l’anonymat de messenger et le fait qu’il ne connaissait ni mon nom ni mon adresse. J’ai posé cette petite culotte sur le lavabo en priant pour que personne ne rentre à ce moment-là, puis je lui ai envoyé cette satanée photo.

« Alors là bravo, tu m’épates, je ne t’en croyais pas capable »

« Mais qu’est-ce que tu crois ? Même pas peur, je suis grande ! »

« Alors maintenant tu vas retourner à ta place et passer la soirée comme ça. En rentrant à l’hôtel tu me raconteras tout en détail, tes impressions ton ressenti, bref tout »

 Le spectacle fini mes collègues veulent aller danser et moi je préfère prendre un taxi pour rentrer à  l’hôtel.

Traverser les rues de Paris la nuit dans un superbe taxi Mercedes, sentir le cuir du siège à même les fesses, le froid de ce siège directement sur ma peau, et même carrément sur mon intimité avait quelque chose de fantastique d’irréel et de terriblement excitant…j’étais sur un petit nuage me prenant pour une de ces stars de la télévision. J’aurai voulu que la course n’en finisse pas tellement l’instant était magique. Puis descendre du taxi devant l’hôtel avec une robe fendue, sans petite culotte et enjamber le trottoir me paraissait être un véritable défi auquel je n’avais aucune échappatoire. Je l’ai fait en évitant tous les regards, notamment celui du chauffeur.

Rentrée dans ma chambre je me reconnecte et bien évidemment mon ami attendait impatiemment derrière son clavier.

« Alors tu es rentrée, tu me jures que ta petite culotte est toujours dans ton sac à main. Tu me le jures ? »

« Mais oui bien sûr et je vais te le prouver »

J’ai posé mon téléphone sur la tablette, je me suis assise devant, branché la caméra,  j’ai ouvert mon sac à main et sorti cette fameuse culotte en directe. En même temps c’est la première fois qu’il voyait ma tête, qu’il me voyait en chair et en os.

« Waouh t’es superbe dis donc, je ne t’imaginais pas comme ça »

« Tu branches également ta cam ? »

Puis on a discuté un long moment sur messenger en vidéo et pour la première fois la discussion s’est encoquinée assez rapidement avec le récit de ma soirée de mon ressenti au cabaret et enfin dans le taxi.

Toujours avec la caméra je me suis allongée sur le lit on s’est raconté comme 2 vieilles amies nos aventures nos fantasmes nos désirs nos souhaits et nos délires. Une discussion sans aucun tabou sans aucune retenue et en s’avouant même nos pires secrets les plus intimes.

Au fur et à mesure de cette conversation je me sentais bien, les détails sans pudeur commençaient à m’échauffer pour ne pas dire m’exciter. Puis la caméra dirigée sur ma figure ma main droite s’est faufilée sous ma robe et  s’est immiscée entre mes lèvres. Doucement, lentement au début puis crescendo jusqu’à ce que je sente le non-retour arriver.

A ce moment-là j’ai prétexté tomber de sommeil et vouloir me coucher.

La caméra posée sur la table de nuit et accidentellement pour ne pas dire volontairement orientée sur la salle de bain je m’y suis rendue, je me suis lavée les dents, démaquillée puis j’ai posé ma robe et mes bas, un petit pipi face à la porte et je suis retournée nue vers mon lit. Et surtout nue devant la caméra !

« Waouh, j’ai tout vu, tu l’as fait exprès ou bien ! »

« Bonne nuit, fais de beaux rêves et à demain… » lui dis-je avec un large sourire un peu hypocrite.

Cette fois-ci seule sur mon lit j’ai fini mon travail, la main droite sur mes lèvres les doigts s’agitant frénétiquement en moi, la main gauche triturant roulant et malaxant mes mamelons, et le point de non-retour a été très largement dépassé.

La nuit a été très courte en partie éveillée et surtout pleine de questionnements.

Le lendemain matin me sentant vraiment fautive vis-à-vis des miens  je me suis désinscrite de facebook et de messenger et je ne l’ai plus jamais revu sur le net.

 

Message personnel :

«  Eric, si tu passes par là je te fais un gros clin d’œil, je regrette profondément de m’être laissée aller cette fameuse soirée mais tu n’aurais pas dû me lancer un tel défi.

Vraiment désolée d’avoir cassé l’amitié de nos causeries du soir.

Bises à toi. »

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9 juillet 2016

Maison de campagne

Quelques histoires un peu folles qui me sont arrivées pendant les grandes vacances.

En effet j’ai la chance d’avoir 2 mois de congés en été alors que mon mari n’a que 15 jours.

Nous venions d’acheter une maison de campagne dans un endroit particulièrement perdu, une grosse bâtisse du style maison de maître avec des dépendances et un très grand terrain sur lequel nous avions un petit étang.

J’ai donc passé 1 mois et demi toute seule dans cette maison à m’occuper des entreprises chargées des travaux. Un mois et demi de pur bonheur à travailler comme une dingue entre le défrichage, le nettoyage et même des travaux du bâtiment.

Mais en même temps  un mois et demi à être la seule femme sur ce chantier, à en profiter un peu, en abuser surement, mais surtout avec des souvenirs mémorables…

Je ne vous les raconterai pas tous mais franchement avec le recul j’avoue être allée un peu loin parfois.

Un des moments particulièrement chaud sexy ou coquin remonte à cette fin de journée, vers les 19 heures où je restais seule avec Sébastien, un jeune du village que j’avais embauché pour défricher le fond du parc.

J’étais au bord de l’étang avec la débroussailleuse et lui avec sa pelle nettoyait le ruisseau à côté. Quand tout d’un coup j’ai glissé et me suis affalée de tout mon long dans l’étang en partie asséché. Ce n’était qu’une marre de boue, de vase et d’algues puantes visqueuses et franchement immondes.

J’étais couverte de cochonneries de la tête aux pieds et heureusement Sébastien  était là sinon je n’aurai jamais pu en ressortir seule. Avec le manche de sa pelle il a réussi à me tirer jusqu’à la rive.

Bref, me voilà sur la berge, ressemblante au bonhomme cetelem qui serait tombé dans une fosse à purin…

La situation m’est apparue assez catastrophique car la maison étant en travaux il n’y avait pas d’eau , je n’avais pas de vêtement et je ne me voyais pas rentrer à l’hôtel dans cette tenue.

La seule solution pour me nettoyer était le tuyau d’arrosage au milieu du parc que les maçons avaient installé pour leurs travaux.

- Sébastien, tu vas venir avec moi pour m’aider à me rincer.

-Heu… oui Madame… (dit-il très gêné)

Et nous voilà au milieu du parc vers ce fameux tuyau.

Je lui dis alors d’ouvrir l’eau et de me rincer la tête. Ce qu’il fit sans souci.

Puis je lui demande de m’asperger de haut en bas pour enlever toute cette vase et ces algues. Ce qu’il fit également mais la vase était imprégnée dans les vêtements, j’en avais partout et il avait beau m’asperger j’étais toujours aussi sale.

C’est alors que j’ai posé mon t-shirt et que je me suis mise en soutien-gorge devant lui pour qu’il m’arrose comme il faut. Et, le résultat a été immédiat. Je me suis alors retournée et j’ai posé mon soutien-gorge afin de le rincer également et me nettoyer les seins correctement.

La scène avait quelque chose de surréaliste… Je lui tournais le dos mais j’étais seins nus. !

-Maintenant, Sébastien, tu vas me donner le tuyau et te retourner. Je ne veux pas te voir bouger, si tu tournes la tête je t’arrache les yeux… c’est compris ?

-Oui, oui, Madame, ne vous inquiétez pas !

Et c’est alors que j’ai posé mon jean j’avais les jambes pleines de vase, puis la petite culotte sur les genoux je me suis rincée abondamment, devant, derrière, ainsi que cette fameuse culotte qui était dans le même état !

Ensuite j’ai renfilé mes sous-vêtements trempés et c’est ainsi que nous sommes allés boire un verre sur la terrasse pendant que mon t-shirt et mon pantalon séchaient au soleil. J’étais assise sur le banc en petite culotte et en soutien-gorge !

Je lui ai fait promettre et jurer de ne jamais en parler, pas même à sa petite amie.

Puis, le restant des vacances, ou plutôt des travaux, nous étions très complices et copains mais jamais la moindre allusion à cette fameuse soirée.

 

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Une autre mésaventure survenue quelques jours plus tard mais toujours sur ce même chantier.

Un matin j’avais entreprit de nettoyer une grange particulièrement sale, pleine de paille, de toiles d’araignées, de poussières et de gravats. Cette grange n’avait pas dû être nettoyée depuis des lustres.

A cette époque la chambre et la salle de bain étaient finies et je n’étais donc plus à l’hôtel.

Et alors ce matin-là en me levant surement l’esprit un peu coquine j’avais décidé d’enfiler mon bleu de travail en mode nature, c’est-à-dire sans rien dessous…. Toute nue sous mon bleu de travail.

Et bien oui….. j’avais envie de voir quel effet cela ferait !

Et je peux vous promettre que l’effet est magnifique et même magique, personne  le voit, personne le sait, et vous êtes seule à connaître ce secret.

Je discutais avec tel ou tel artisan sans qu’il s’imagine quoi que ce soit. Je me disais « Mon coco ! Si tu savais…. ! »

Et c’est ainsi que j’ai passé toute ma journée à nettoyer ratisser trafiquer dans tous les sens en étant toute nue sous mon bleu.

Le lendemain matin je décidais de récidiver et j’ai alors passé plusieurs heures toujours dans la même tenue et avec les mêmes sensations.

Sauf que………..

Vers les 11 heures le carreleur vient me voir.

-          Je vais à Casto-Brico-Machin Truc. Je vous emmène que vous choisissiez les faïences de la cuisine.

-          Oui, je vais me changer et j’arrive.

-          Mais non ! on n’a pas le temps, et puis vous êtes très bien en bleu, on va pas à un défilé de mode ……

Et c’est ainsi que je me suis retrouvée presque de force dans la cabine du camion.

Une demi-heure plus tard nous arpentions les allées du magasin à choisir les faïences et la sensation initiale assez coquine s’est transformée en une très forte sensation de gêne et d’exhibitionnisme.

Une expérience à vivre que je ne regrette absolument pas mais je ne suis pas certaine d’oser la rééditer un jour !

Si vous êtes dans cet état d’esprit je vous suggère d’essayer un jour pour vivre cette sensation assez fabuleuse de se sentir terriblement vulnérable.

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Et une petite dernière pour la route !

Le tout dernier jour des travaux, il ne restait que les maçons. Le matin ils avaient fini de remballer l’échafaudage et leurs derniers outils quant à moi j’étais allée en ville pour des rendez-vous.

Pour une fois j’étais habillée en femme et non en bleu de travail ou en jean déchiré et plein de peinture. J’avais une petite robe d’été mi-cuisses, blanche et assez sexy avec deux fines bretelles sur un joli décolleté sans soutien-gorge. Plus dans le style minette qu’ouvrière de chantier !

Quand je suis rentrée à midi et comme prévu je leur ai offert l’apéritif ainsi que le repas au bord de l’étang.

C’était mes 3 ouvriers préférés, ils étaient là depuis le début des travaux en ayant fait tous les crépis, les dalles en ciment ainsi qu’un mur complet sur une grange. Bref on se connaissait bien et on avait sympathisé.

A midi on boit le pastis tous les 4, on plaisante, on rigole et petit à petit l’ambiance dégénère un peu.

Il faisait chaud on était en pleine canicule et au bout d’un moment comme un des gars se plaignait de la chaleur j’ai pris le seau de glaçons et je lui ai vidé dans le cou entre le t-shirt et la peau du dos.

Imaginez les cris les hurlements du gars et sa réaction a été immédiate…

Piqué debout face à moi il m’a basculée sur son épaule et m’a embarquée jusqu’au ruisseau un peu plus loin. Bien sûr les deux autres ont suivi et je me suis retrouvée allongée dans le ruisseau avec les 3 gars sur moi me plaquant au fond de l’eau  en m’empêchant de me relever.

On s’est comporté comme des gamins de 10 ans à hurler de rire et à s’asperger, et moi à moitié nue, pour pas dire au trois quarts……

Chacun son tour s’est retrouvé allongé et roulé au fond du ruisseau, le tout dans des cris et des éclats de rire qui devaient résonner au loin.

J’ai fini en petite culotte et seins nus… des vrais gamins de 10 ans, je vous dis, des vrais gamins !

Mais CHUTTTTT personne ne l’a su !

6 juillet 2016

Un soir dans le TER

Un jour il m’est arrivé quelque chose de complètement dingue.

Pour situer un peu, j’étais en plein divorce et comme souvent cela se passait mal. Avocat, coups bas, partage des biens…bref j’étais en pleine dépression.

J’avais décidé d’aller passer quelques jours chez mes parents dans leur maison de campagne perdue au centre de la France. Comme mon mari avait récupéré la voiture je n’avais donc que le train pour me déplacer.

Me voilà donc avec mon sac et ma gueule d’enterrement dans le TER.

Il y avait pas mal de monde et j’étais perdue dans mes pensées. De l’autre côté de l’allée 2 jeunes italiens, 18-20 ans, assez bruyants qui riaient beaucoup, bref complètement opposés à moi.

Ils engagent la conversation, je réponds par politesse. Ils insistent, je m’ouvre doucement et suis un peu plus loquace. Au bout d’une ½ heure la conversation devient plus ouverte.

A la gare suivante je descends pour prendre une correspondance et la chance aidant eux aussi prenaient cette correspondance.

½ heure d’attente, on décide d’aller boire un verre ensemble au bistrot de l’autre côté de la place.    

Je me surprends moi-même à commencer à sourire. J’étais presque heureuse avec eux deux.

Le moment venu on reprend le train. Le wagon était assez vide, tout au plus une dizaine de personnes. Un des jeunes s’assied à côté de moi et l’autre debout dans l’allée face à moi.

La discussion va bon train, on plaisante, je ris et j’en viens même à rigoler franchement à leurs pitreries. On parle de vacances, de plage, de maillots de bain et de fringues. J’avoue même faire du monokini sur la plage…

Le plus grand des 2 me dit : tu nous montres tes boups ?

Moi un peu interloquée : c’est quoi des boups ?

Et je viens d’apprendre une chose, les boups ce sont les seins, les nibards, les nichons…

Les 2 gamins voulaient voir mes seins !  J’avais 10 ans de plus qu’eux et ils me demandaient de leur montrer mes seins dans le train, là,  maintenant, tout de suite !

J’ai cru rêver et je n’ai pas relevé. La discussion a continué toujours sur le même ton léger et hilare.

Au bout d’un moment la question est revenue : Aller, sois sympa, fais nous voir tes boups, ils doivent être superbes, et puis sur la plage tu les montres bien à tout le monde !

 J’évite encore le sujet mais au bout d’un moment la question revient une nouvelle fois.

Je me souviens très bien, j’ai fixé le gamin droit dans les yeux, j’ai attrapé mon pull que j’ai relevé jusqu’au menton, je l’ai bloqué, et … acte complètement dingue pour moi j’ai relevé le soutien-gorge

libérant mes fameux 2 boups sous leur nez à 50 cm et tout en les secouant de gauche à droite.

La scène a duré peut être 15 secondes et les 2 gamins sont restés comme 2 statues les yeux écarquillés plantés droits dans mes seins.

Ensuite on est partis d’un éclat de rire tous les 3 à ne pratiquement plus pouvoir respirer.

Je n’avais pas autant ri depuis très très longtemps, j’étais méconnaissable.

A la gare suivante je devais descendre. On s’est fait la bise et je suis partie.

Sur la place mon père m’attendait en voiture, quand il m’a vu arriver en riant aux éclats il n’a pas compris pourquoi j’étais dépressive et que je voulais aller me reposer chez eux.

25 juin 2016

Le miroir de la vie

Cette histoire remonte à une vingtaine d’années alors que j’étais toute jeune adolescente, puis elle aura joué un rôle important dans mon évolution, ma sexualité et mes fantasmes.

A l’époque mes grand’ parents possédaient un manoir dans un endroit perdu de la France profonde, mais ce manoir était le ciment de toute la famille, nous nous retrouvions en été avec les oncles, les tantes, les cousins, les cousines. Trois générations se côtoyaient et nous étions parfois une vingtaine autour de la table.
Avec mes cousins qui avaient environ le même âge que moi nous jouions aux aventuriers arpentant la forêt ou aux indiens espionnant un écureuil, un lapin… On partait ainsi plusieurs heures à l’aventure.

Un jour où nous étions quatre baroudeurs, mon cousin, l’ainé du groupe, 14 ou 15 ans, nous fait le signe du silence. On avance tapi dans les buissons jusqu’à un surplomb au-dessus d’un petit lac.

Ce petit lac de montagne est comme beaucoup d’autres, profond et avec une eau particulièrement limpide. Mais il est interdit de s’y baigner tellement il est dangereux et froid.

Et donc en espionnant depuis ce surplomb on aperçoit quelqu’un se baigner.

Tous les quatres, immobiles derrière notre buisson, espionnions ce baigneur qui au fur et à mesure qu’il se rapprochait de nous s’est avéré être une baigneuse. Et plus elle se rapprochait plus le doute commençait à ma gagner. Cette femme se baignait nue, elle n’avait rien sur elle, ni en haut ni en bas.

On était tous les 4 bouche bée à ne même plus oser respirer pour ne pas éveiller sa méfiance.

Elle était assez proche de nous, peut-être une trentaine de mètres tout au plus, et c’est alors que cerise sur le gâteau elle s’est arrêtée, s’est mise sur le dos pour faire la planche les bras en croix.

A ce moment-là j’ai reconnu cette femme. C’était une hollandaise qui avait une maison de campagne dans la région, mais surtout c’était une personne que j’avais croisée à quelques reprises et qui pour moi était le symbole même de la réussite féminine. Elle avait la trentaine, était médecin mariée à un riche industriel et surtout elle était particulièrement belle. Elle avait tout pour elle, belle riche et intelligente. Jusqu’à cet instant elle incarnait pour moi le modèle de la réussite féminine et je venais de découvrir le jardin secret de mon idole d’adolescente.

D’un coup elle a gravi un cran sur son piédestal, elle avait en plus la sensualité et l’érotisme d’une femme libre et forte de caractère. Bref, j’ai eu le flash, je voulais devenir cette femme parfaite, moderne et libérée.

Mon beau rêve s’est envolé en une seconde quand mon cousin, ce grand benêt, suivi de mon frère, s’est mis à hurler pour effrayer notre muse d’un instant. Ils ont dévalé en courant le petit sentier menant à la minuscule plage d’où notre belle hollandaise avait dû rentrer dans l’eau.

Alors prises de panique avec ma petite cousine nous nous sommes sauvées en courant de peur de passer pour d’horribles petites voyeuses. Nous avons couru ainsi jusqu‘à la maison où mon frère et mon cousin nous ont rattrapées.

Jamais ils ne nous ont dit ce qui s’était passé sur cette petite plage et malgré nos demandes c’était leur " secret d’indien ".

Par la suite nous n’en avons plus jamais reparlé.

L’année dernière, soit vingt ans plus tard, je suis retournée en vacances dans ce manoir. Bien sûr mes grand’ parents ne sont plus là mais mes parents ainsi que mes oncles et tantes ont conservé cette demeure familiale.

Tous les jours je faisais de grandes randonnées en pleine nature et par un bel après-midi je suis repassée dans cette forêt, comme poussée par une force invisible.

J’ai revu ce petit lac, rien n’avait changé comme si la nature s’était arrêtée pendant ce temps.

Et toujours poussée par cette force secrète j’ai pour la première fois arpenté le petit sentier qui menait sur cette minuscule plage. Tous les souvenirs se mélangeaient dans ma tête, cette femme, cette muse qui a hanté si longtemps toute mon adolescence ainsi que ma vie de jeune femme, qui a été un modèle dans ma construction, cette belle hollandaise m’aspirait littéralement dans cette direction.

Et c’est alors que telle un automate je suis passée de l’autre côté du miroir de ma vie.

Je me suis déshabillée, j’ai posé mon soutien-gorge ainsi que ma petite culotte et complètement nue j’ai lentement mis un pied dans l’eau, puis le deuxième, j’ai avancé jusqu’aux genoux, l’eau était glacée, puis jusqu’aux cuisses, j’étais saisie par le froid.

Puis je me suis mouillée la figure, les épaules, le ventre et j’ai continué d’avancer. L’eau sur les fesses et sur le sexe, la réaction a été immédiate. C’était d’une sensualité inouïe, terriblement excitant.

J’étais maintenant dans la peau de mon idole.

J’ai continué d’avancer et je me suis mise à nager. Quel bonheur, cette eau froide, ce lac désertique et tout ça sous un soleil de plomb au milieu de cette forêt grouillant d’animaux.

J’ai nagé ainsi jusqu’à l’approche du fameux promontoire où rien n’avait changé depuis des années.

Tout comme mon idole j’ai fait la planche, les bras en croix, les jambes grandes écartées et je regardais partout dans la forêt, mais personne, aucun indien, aucun aventurier… personne hormis une buse qui tournait à ma verticale comme pour me dire: " je t’ai vu ! "

L’eau glacée faisait que mes tétons se redressaient tels deux phares bretons et les jambes grandes ouvertes créaient un effet exceptionnel, mon sexe brulant de désir et glacé par cette eau qui tentait de me pénétrer. Mon ventre bouillonnait de plaisir avec un chaud-froid jouissif, j’étais à la limite de l’orgasme simplement en écartant et serrant mes jambes, en écartant et serrant ma vulve. Seule au monde au milieu de ce lac magique plus rien existait, plus rien importait, hormis l’instant présent avec sa sensualité exceptionnelle.

Je suis restée ainsi quelques minutes et je crois qu’avec la magie du lieu j’aurai pu faire n’importe quoi, j’étais prête à tout accepter même les pires folies… J’étais prête à m’abandonner à je ne sais quelle déesse de l’amour…Cupidon s’étant peut être réincarné dans cette jolie buse …

Puis les frissons dû à l’eau froide m’ont ramenée à la réalité. J’ai rejoint la rive et malgré mon insistance je n’ai pas vu d’indiens à l’horizon.

Ne voulant pas rompre cette magie trop vite je me suis allongée nue sur les rochers et j’ai somnolé ainsi en plein soleil perdue dans mes rêves d’adolescente.

La boucle était bouclée, j’avais traversé le miroir et je savais maintenant ce que recherchait mon idole, cette belle hollandaise, égérie de toute ma vie.           

        

25 juin 2016

Ma présentation

Tout d’abord je vais me présenter.

J’ai la quarantaine, mariée et mère de famille.

Assez grande et mince, 1.71 m pour une soixantaine de kilos, blonde naturelle et aux dires de mes amis ‘’  très belle ‘’.

Mon prénom sera Nathalie mais par discrétion ce n’est qu’un prénom d’emprunt, tout comme les prénoms des personnes qui seront citées dans mes récits ainsi que les lieux, dates et autres détails.

Vous comprendrez que je veuille rester discrète sur toutes les histoires que je vais vous raconter car elles seront parfaitement véridiques, ce qui me permettra d’être comme sur le divan d’un psy.

La plupart de ces histoires sont totalement intimes et personnes dans mon entourage, ni mes amis ni même mon mari ne sont au courant.

Alors n’hésitez pas à faire vos commentaires, donner vos avis et conseils, et pourquoi pas raconter si vous avez vécu les mêmes aventures.

Bisous à vous tous et toutes.

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  • Les confidences coquines, secrètes et surtout anonymes d'une femme. Je suis une mère de famille investie dans mon travail ainsi que dans des associations. Ce blog sera mon "divan secret" sans aucun tabou. Alors n'hésitez pas à faire vos commentaires.
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